sur un bateau, entre les lignes ou tout simplement à l'ombre d'un pommier, d'un figuier ou d'un olivier (encore  que l'olivier ne soit pas recommendé en Basse Normandie...)

disait ma grand mère maternelle, une fort méchante femme par ailleurs, sêche, acariâtre et mauvaise avec qui n'était pas ses chouchoux .

Pourquoi je dis ça moi? 

entre les mails de vos amis, ceux de mystéreux bienfaiteurs africains à l'article de la mort soucieux de vous léguer un million d'euros, ceux qui vous promettent (si vous êtes un homme) d'accroitre votre instrument fétiche d'une quinzaine de centimètres (matin! quel engin, succès d'estime assuré dans les soirées), les inévitables marchands de petites pillules bleues, la Redoute et les Trois Suisses, plus quelques newsletters, bref ....

La boite , de jour en jour grandit démeusurément sans que pour autant on ait eu conscience de recevoir beaucoup de nouvelles de ceux a qui ont tient vraiment.

En revanche, nous sommes parfaitement au courant des dernières promos.

Etonnant, non?

de porter bien haut l'étendard de la révolte, qui travaille encore à la révolution ou aux lendemains qui chantent? Le brun tend à recouvrir le gris de nos existences mornes, le rouge et le noir sont passés de mode...le vert quand a lui risque d'avoir eu le tord d'avoir eu raison trop tôt et de porter un message que nul ne veut entendre.

En musique de fond un extrait du toujours écoutable "1983" de Sophie Huger

qu'il falait prendre les choses comme elles sont et pas comme on voudrait qu'elles fussent. Certes, mais il oubliait sans doute que l'homme est toujours partagé entre la réalité et son aspiration à autre chose, sa virtualité, le rêve, l'imagination que sais je...