bribes, brindilles et fond de l'air
je l'ai déjà dit
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juste en vrac
Ils ne faut jamais revenir,
Au temps caché des souvenirs,
Du temps béni de mon enfance,
Car parmi tous les souvenirs,
Ceux de l'enfance sont les pires,
Ceux de l'enfance nous déchirent,
Vous, ma très chérie, ô ma mère,
Où êtez-vous donc, aujourd'hui,
Vous dormez au chaud de la terre,
Et moi, je suis venue ici, pour y retrouver votre rire,
Vos colères et votre jeunesse,
Mais je suis seule avec ma détresse,
Hélas,
En deux mois de temps, j'ai appris que deux personnes chères à mon coeur avaient perdu un de leur parent. Je sais bien qu'à nos âges nous rentrons dans le temps où la mort commence à moissonner, je sais bien que la vie est une mortelle maladie, je sais bien ...
Bises donc
Vous avez sans doute lu ou entendu
Sans vouloir polémiquer outre le fait que la jeune Amy avec un seul album potable n'avait pas encore prouvé grand chose dans le milieu (sauf qu'elle pouvait vendre beaucoup de cd et qu'elle excellait dans la Trash attitude, très Rock and roll pour le coup), je renvois à l'excellent article de Luc Winogradoff sur http://music.blog.lemonde.fr. Pour le reste, je crois qu'on enterre la petite aujourd'hui, elle mérite sans doute qu'on la laisse en paix maintenant.
Bad days, bad news
Au maximum donc pour en regretter le moins possible.
cela commence à faire long
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Fabrice,
Les mots de Barbara disent quelque chose que je connais trop bien. Ma mère est décédée acccidentellement, alors que j'avais cinquante ans. Ils partent les uns après les autres comme une forêt coupée à blanc. Il est normal d'en être affecté, et même d'éprouver un choc comme celui qu'éprouva mon père devant le corps de sa femme : " c'est le néant". Il est catholique mais il sentait ce néant, à juste titre. Sa femme était ailleurs : il nous fallut être présents.
Bonne journée Fabrirce.
hello amigo mio ...
grosses bises d'un petit gars du sud...
décomposé mais vivant ...